Comment réussir sa prépa Médecine ?

Prépa médecine à Bordeaux, Lyon et Toulouse

Réussir sa première année de médecine

Pour s’assurer réussite et épanouissement lors de la première année de médecine, il est absolument nécessaire de connaître parfaitement la réforme de la PACES (voir notre fiche-résumé la concernant), mais surtout de se préparer de manière intelligente. Nous vous donnons ici quelques conseils fondamentaux afin que vous évitiez tous les pièges durant cette année éprouvante et exigeante. 

Anticipez, avancez-vous !

Durant les vacances scolaires qui suivent votre année de terminale, n’hésitez pas et prenez les devants. Que vous souhaitiez combler des lacunes dans certaines matières ou simplement mettre à profit ce temps pour progresser de manière générale, il est utile  de commencer à travailler afin de ne pas trop subir un choc lors de la rentrée. Comment? Les stages de pré-rentrée sont particulièrement utiles car ils vous permettent de vous confronter aux exigences de la première année en douceur.

Croyez en vous !

Tout le monde a déjà au moins une fois entendu parler de la difficulté de la première année de médecine. Dès lors, certains étudiants tentent de passer en deuxième année sans trop y croire, « sans se faire d’illusions », en pensant que ceux qui sont pris sont des machines dénués de faiblesses. C’est une grave erreur, face à une telle sélection, une part importante des échecs s’explique par le fait que certains se découragent ou ne croient pas suffisamment en leurs chances. N’ayez pas de regret, croyez en votre réussite à 100% et vous aurez déjà réussi une partie de l’épreuve. Les étudiants qui sont passés en deuxième année vous le diront : personne ne vit la première année de médecine sans traverser des moments de doute et de crise de nerfs. Vous seriez surpris du nombre de candidats qui sont persuadés d’être entourés d’élèves meilleurs qu’eux. 
Il est normal d’être touché lorsque les résultats ne sont pas au rendez-vous, alors parlez de vos difficultés et de vos doutes à vos proches, mais surtout ne vous laissez pas abattre, ne vous résignez pas, ne lâchez rien. 

Apprenez à vous connaître afin de vous organiser au mieux

Vous êtes unique, votre cerveau et plus particulièrement votre mémoire, fonctionne d’une manière qui lui est propre. Il est donc impératif que vous organisiez votre manière de travailler en fonction de ce qui marche pour vous. Les conditions dans lesquels vous allez travailler conditionnent votre réussite alors posez vous les bonnes questions : vous préférez travailler en groupe ou seul, avec de la musique ou dans le silence ? 
Pensez concret : le lieu qui vous permet de rester concentré et le moment de la journée qui vous convient le mieux sont des éléments importants de votre préparation et doivent aussi être pris en compte.
En ce qui concerne l’organisation de votre travail dans le temps, il n’y a pas de règle : certains ont besoin de se rassurer et prévoient chaque heure de leur journée, d’autres privilégient des plannings à la semaine ou au mois. Votre temps de travail doit lui aussi être adapté à votre manière de fonctionner, vous devez ainsi réfléchir au nombre d’heures qui vous permet de rester efficace, mais aussi à la nature des pauses que vous allez faire. Les pauses sont nécessaires et elles doivent réellement recharger vos batteries. Privilégiez toujours un quart d’heure de marche ou un café avec votre colloc’ à une pause réseaux sociaux/youtube qui n’en finit plus et dont vous ne ressortez pas moins fatigué. 
En résumé, il n’existe pas de recette à suivre pour bien s’organiser si ce n’est s’écouter afin d’élaborer la méthode qui corresponde le plus à ce que l’on est.

Soyez régulier et gardez une bonne hygiène de vie

Les mots d’ordre de cette première année de médecine doivent être « régularité » et « équilibre ». C’est une longue année, vous passerez forcément par des phases plus difficiles que d’autres et votre degré de motivation va varier. Par conséquent il est fondamental de mettre en place des rituels, un rythme qui vous permette de ne pas craquer lors des périodes difficiles. Le sommeil est prépondérant, particulièrement important pour la mémoire et la concentration, alors là encore trouvez votre rythme. Si vous avez besoin de 9 heures de sommeil minimum, prenez les : pour tenir le coup toute l’année, il est toujours préférable d’être efficace et en forme que de repousser ses limites naturelles. Garder quelques activités, sportives ou culturelles pour souffler, est aussi primordial afin de garder le cap et de ne pas penser « médecine » 24h/24. Il en va de même pour l’alimentation: comme pour un sportif de haut niveau, manger sain et équilibré est évidemment un vecteur de bonne santé, de bien être et donc de réussite.  Cela ne veut pas dire se priver de ses plaisirs, bien au contraire ils sont eux aussi absolument nécessaires. L’important est de trouver un équilibre général, n’oubliez jamais que les « à-côté » participent grandement de votre efficacité dans le travail. 

Maîtriser votre stress le jour J

Le jour des épreuves, malgré la meilleure préparation et toutes les connaissances du monde, vous allez être confronté au stress. Loin d’être obligatoirement un handicap, le stress est simplement un signal qui vous montre que vous faites face à un événement important. N’ignorez pas ce stress, n’en faites pas une montagne non plus : il est parfaitement naturel. C’est grâce à lui que vous pouvez élever votre niveau de concentration, à la condition de ne pas vous laisser submerger. Pour cela, il est important de vous raccrocher à des repères rassurants. De la nourriture, de la musique que vous aimez, pour certains même des vêtements qui ont une symbolique particulière. Aussi, il est important de bien préparer son sac à l’avance, ses stylos (en double!), son pique-nique…Créez un cadre favorable à votre réussite. Les grands sportifs sont souvent attentifs aux détails, ils ont souvent des rituels car cela leur permet de rentrer dans une routine et lorsque l’on est entouré de repères familiers il est évident que l’on gagne en sérénité. Après ça,  il n’y a plus qu’à réussir.